Naël
@n_21300
Ce que tu fais, fais-le suprêmement ⚽🏆🎮 PSG
Si nous leur montrons ces films, ils diront qu’il est clair que nous sommes la race supérieure et que les autres, qui n’ont pas besoin de moutons, ne devraient pas être en vie du tout.
Les enfants de Gaza sont un cri silencieux sur lequel l’histoire jugera la conscience de l’humanité.
Où sont leurs droits à l'enseignement, à la paix, à la vie, à la nourriture, aux jeux, à la boisson ???
Dans ce désert de barbarie, une goutte d’humanité devient océan de survie.
Les bourreaux ont pris leurs vies, mais jamais leurs sourires dans nos mémoires.

Un jour, ces gouttes d’humanité formeront une rivière qui lavera la honte du siècle.
Ils n’attendent plus la nourriture, ils attendent la mort.
Ces ‘gentlemen’ sauvages sont vils… face à l’humanité d’un enfant affamé...
Ne vous inquiétez pas, dans quelques jours, il n’y aura plus un seul enfant à Gaza pour lequel vous aurez mauvaise conscience.
Répondez par des faits : - 37 000+ morts dont 14 500 enfants (ONU) - 70% des maisons détruites - Famine utilisée comme arme de guerre
une chaleur étouffante, des estomacs vides et un espoir qui s’amenuise chaque jour. La faim ronge le corps des enfants et la chaleur leur coupe le souffle.
Regardez ce ‘soulagement’ !Un bout de pain pour l’enfant,Des milliards d’armes pour les bourreaux.
« La voix de Gaza sera réduite au silence » une fois pour toutes ! Des gens mourront de faim, d’oppression et de trahison envers un monde qui se prétend humain. Le monde connaîtra-t-il alors la paix ? Pourront-ils dîner avec leurs enfants et leurs familles, l’esprit tranquille ?
La police est devenue folle : on nous tabasse et on nous licencie juste pour avoir dit ‘Ne tuez pas les enfants’. Désolés d’avoir ‘insulté’ les assassins !
Mais quel péché a commis ce petit ange pour souffrir ainsi dès à présent ? Comment ont-ils pu infliger ce calvaire à ces yeux innocents ?
Peut-être cette image vous est-elle étrangère, mais quand la faim atteint son paroxysme, l'humain serre des pierres contre son ventre pour tromper un peu la souffrance...
Savez-vous où réside la beauté de cette histoire ? Dans cette sœur qui, elle aussi, tremble de peur, mais qui embrasse son petit frère pour se calmer…
Cette petite fille ne demande rien d'autre : son école, sa maison, ses camarades de classe... tout ce que la guerre lui a volé.