Picod Benjamin
@b80420
Ma seule certitude est dans le doute, ma seule connaissance est l'ignorance. Please don't mind if I ask?
Ne quittez jamais une personne que vous aimez fâchés, on ne sait jamais ce qu'il peut arriver. - Béatrice Picod
L'esprit humain cherche la régularité dans la nature pour s'y accrocher et éventuellement la dompter. Quel repos nous donne cette familiarité, quand l'incompréhension est certaine ?
La beauté, le sensationnel sont mauvais conseillés, le concret est merveilleusement solide, mais fait mal quand il nous cogne derrière le crâne.
Certains se rapporteront à leurs bases, d'autres considéreront leur buts plus important. Même si les buts sont importants, si la base change ou s'écroule, c'est toute la certitude avec.
A quel moment est-on assez évolués pour ne pas se tromper avec les principes nécessaires, à quel moment admettre son incapacité et retourner à la cultivation de ces principes?
Nous n'avons même pas intégrer toute la sagesse des anciens, comment peut-on avoir la vanité de croire que nos décisions hâtives sont meilleures ?
Un papier est écrit sur un papier dont la source est démontrée fausse, à quel niveau ne cherche-t-on plus a vérifier ce sur quoi nous nous basons?
Nous avons les faits, nous avons la logique, où nous mènent-ils ?
Dans un ère d'incertitude, peut-on encore croire les canaux habituels d'information ?
Quels faits sur lesquels s'accorder pour dialoguer en bonne intelligence ?
Doit-on donner de l'attention à ceux qui la réclament sans la mériter ?
Comment arrêter un mouvement qui prend de l'ampleur et de l'élan ?
Quelle est la base rationnelle sur laquelle tout individu pensant soit d'accord ?
Peut-on avoir une vue d'ensemble quand différents acteurs présentent leurs points de vue étriqués par leur trop grand investissement émotionnel ?
Ceux qui jalousent la repentance envers certains, se rendent ils compte de l'ampleur et de la durée du préjudice pour la mériter ?
Sans nuances, sans contexte ni domaine d'application, ce que nous disons de général n'est-il pas voué à être faux ?
A quel moment le principe, la conclusion sont des poncifs qui permettent aux paresseux intellectuels de ne plus penser à toutes les nuances ?