Maroussia
@Marouss28776392
Fan de musique, de poésie. et comme la poésie est la musique des mots je suis fan.
Je suis ivre de toi, Surtout n’arrête pas, Laisse encore tes lèvres, Sur ma nuque posées, Tes mains sous ma chemise, Doucement retroussée, Je deviendrai lascive, Lorsque le goût de toi, Sur ma langue gourmande, Sa trace laissera...

Tout à fait
La poésie est un battement d'ailes en quelques mots.
Il était l’homme triste appuyé au comptoir, Blafard d’indifférence en sa barbe meurtrie Par des torrents de boue, il portait son espoir À l’aube d’un sanglot devenu poésie, Hurlant tel un enfant effrayé par le noir, Aux nues d’un souvenir qui sonne l’hallali. Maroussia 260725

J’ai laissé mon regard rejoindre l’océan Scintillant et bleuté, mais le ciel se mirant Tel un reflet d’azur, donnait tant d’émotion Que j’en perdis mon âme et ma respiration, Tandis que dans le sable épousseté de vent Les pas de notre amour s’effaçaient doucement… Maroussia

La langueur s'installe comme une brume tiède sur le corps. Elle est ni douleur, ni plaisir, mais un flou délicieux qui se fige dans l'instant, une ombre douce que laisse le feu lorsqu'il ne brûle plus. Le corps flotte comme une algue bercée par une mer qui hésite à se retirer.
"Lorsque ma plume se repose, mes mains cultivent la terre ; car chaque mot semé ou chaque graine plantée porte l'espoir d'une floraison".
Ton chagrin a hurlé tes dernières fusions, Puisse-t’il embrumer la flaque de tes yeux Jusqu’à te faire oubli, oui tu es malheureux Même ta peau exhale un parfum moribond, De ta main sans sa main, de ta cendre à son feu Les mots de ses amours ne portent plus ton nom.. Maroussia

Il est parfois aussi agréable que nécessaire de s'isoler du monde, en se perdant dans ses propres pensées... 𝑇 𝑒𝑛~𝐿~
coeurs croisés sur les chemins des poitrines hébétées collantes des poudres de poussière autour ton regard par dessus tout
Ma dune clandestine indolemment dorée Ondule en dessinant des amants de soleil; Son flanc coule et scintille en flots de grains vermeils Étirant ses versants d'élans inexplorés. Puis le vent fou drainant son souffle en feux nuptiaux, Glisse sa main de sable ardent sous son…
Le jupon de l’amour si joliment troussé, S’ébruite en cotonnade à tes lèvres rosées, Et sous tes doigts, la fleur offerte en son buisson, Fragile de douceur, se pétale en bouton, Le crépuscule d’or s’est bruni sous tes yeux, D’un long frisson de lune au parfum merveilleux…
