L'écriture

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Il y a des jours où l’on éclaire les autres. Et des jours où l’on cherche juste à ne pas s’éteindre.

Si aujourd’hui tu n’y arrives pas, ce n’est pas grave. Rien à prouver, juste à respirer. Et si tu peux… un petit geste tendre pour toi. 🌿

On croit que le désespoir tue. Non. C’est l’attente. Muette, constante, acide.

Lundi. Tu n’es pas obligé d’avoir toutes les réponses. Avance un pas après l’autre. Même lentement, même en doutant, tu es déjà en train d’avancer.

Tu as le droit de changer de direction. Le droit de ne plus t’épuiser à donner là où rien ne pousse. Tu peux choisir ce qui t’élève. Ce qui t’apaise. Ce qui te nourrit. Et si aujourd’hui, c’était déjà ça : Se tourner — même un peu — vers la lumière. 🌻

Tu n’as pas à t’effondrer pour avoir “le droit” de te reposer. Tu peux juste… poser le fardeau. T’allonger. Respirer. Lire. Dormir. Rien faire. Bon dimanche 🌻

L’amour, ce n’est pas toujours sauver l’autre. Ce n’est pas toujours parler, expliquer, réparer. Parfois, c’est juste être là. Rester. Et laisser le silence devenir un refuge à deux.

Tu as le droit d’être traversé·e par des émotions lourdes. Tu as le droit de pleurer, de trembler, de ne pas comprendre. Ce n’est pas une preuve de faiblesse. C’est un message de ton corps qui te demande de l’attention. Tu n’es pas trop sensible. Tu es vivant·e.

Il n’est pas toujours nécessaire d’aller mieux. Parfois, il suffit d’aller doucement. Et c’est déjà beaucoup. Bon weekend ♥️

L’éducation ne devrait jamais être une cage dorée. Ni un plan de carrière miniature. L’enfant est un monde. Et les mondes ne se corrigent pas. Ils se découvrent, un pas après l’autre.

Ce n’est pas une injonction à la paix. C’est une permission. Tu peux juste être là. Sans comprendre. Sans faire. Juste respirer. Et laisser la vie passer… doucement.

Ce ne sont pas les grands exploits qu’on devrait applaudir. Mais les gestes discrets qu’on fait contre soi-même… pour soi. Si tu as fait l’un d’eux cette semaine, même juste un tout petit, tu mérites qu’on te dise : bravo.

Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise émotion. Il n’y a que des messages du cœur qu’on apprend à écouter. Et parfois, ne pas comprendre, c’est déjà commencer à sentir.

Certains emportent des vêtements pour toutes les saisons. Moi, j’emporte des livres pour tous les états d’âme. Parce qu’on ne sait jamais où l’on va, mais on sait ce qu’il nous faut quand on se perd📚

Avant de juger une âme qui se fane, regarde le sol sur lequel elle tente de grandir. Ce n’est pas toujours elle qui va mal. Parfois, c’est l’air qu’elle respire.

On n’oublie pas. On enterre juste ce qui fait trop mal pour être regardé.

Un enfant affamé, ce n’est pas une tragédie. C’est un crime. Mourir sous les bombes n’est pas une fatalité. C’est le résultat d’un monde qui a normalisé l’horreur. L’enfance ne devrait jamais être un prix à payer. Et notre silence… ne devrait jamais être une monnaie d’échange.

Le vrai respect ne vient ni de la peur, ni de l’autorité. Il naît dans la liberté de rester soi, face à l’autre. Et si on commençait par ne plus confondre silence et loyauté ?

Et toi, tu t’arrêtes quand ? Tu te demandes, parfois, si tu vas bien ? Ce post est une petite pause pour toi. Tu as le droit d’être aussi doux·ce avec toi-même que tu l’es avec le monde.